« The Heritage est un forum RPG où tu incarnes un chien. Fais parti d'une des quatre meutes ou bien reste solitaire, puis commence ton aventure au sein de ce nouveau monde ! » |
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| Paf, je glisse ! [LIBRE] | |
| | Auteur | Message |
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Princesse « Membre Fidèle de TH »
Messages : 85 Date d'inscription : 09/06/2012 Age : 26 Localisation : Bordeaux
Ton chien ♥ Légende: Relation:
| Sujet: Paf, je glisse ! [LIBRE] Mer 13 Juin - 12:21 | |
| Je m'aventurais comme toujours , mais cette fois dans les dunes mouvantes, je m'aperçus que je glissais, c'était très mouvant, je faisait un tas de petits bond pour ne pas partir avec le sable, puis je tendis l'oreille et entendue une légère expiration, je sauta vers le bruit et vis un chien, je me demandais qui était-il, alors je m'en approcha et glissa de la dune, il était tout en bas . Sans le faire exprès je glissa de la Dune et roula tout le long, puis arriver en bas j'atterris sur lui et lui dit :
<< Pardon, je n'es pas fait exprès, je m'ébroua et repris, comment t'appelle-tu ?>> | |
| | | Daïyen « Co Fonda extrème =P »
Messages : 449 Date d'inscription : 21/04/2012 Localisation : Droite après tu retournes à droite et t'es arrivée!
Ton chien ♥ Légende: Relation:
| Sujet: Re: Paf, je glisse ! [LIBRE] Ven 15 Juin - 17:43 | |
| - Le soleil était haut dans le ciel. A vrai dire, je crois qu'il était à son zénith. Il devait être midi alors. Enfin qu'importe. Le propre de notre espèce, c'est que nous faisons ce que nous voulons où nous voulons et si nous le voulons. Ca n’avait donc pas beaucoup d’importance. Comme d’habitude, je me promenais un petit peu, à cette heure chaude, la plus chaude de la journée. Je marchais tranquillement, lorsque je remarquais que je commençais à entrer dans l’immensité des Dunes de Sables. Ces sables mouvants hauts comme des petites collines, pour les plus grands. Je n’avais jamais encore eut la malchance de m’enliser dedans, et j’espérais que cela ne m’arriverait jamais. Car j’ai beau être fou, j’ai beau tenter le diable à chaque instant de ma vie, à chacun de mes soupirs, je n’ai quand même pas envi de finir ainsi. Une mort dont personne ne chantera les louanges. La seule fois où ça m’est arrivé, j’avais réussi, grâce à ma force, mon intelligence et aussi, je l’avoue, de ma chance légendaire, à me sortir d’un tel pas. Je m’étais enfoncé dans des sables mouvants et, juste à ce moment là, une branche sèche tomba, assez longue pour que je puisse m’y accrocher avec mes crocs et me hisser à la force de mes épaules, sur la terre ferme. Enfin, c’est quand même quelque chose que je n’ai pas vraiment envi de répéter. Sauf si vraiment je dois le faire, mais je ne vois pas pourquoi cela serait le cas. Ah, si ! Si Joyce me relançais un de ces paris débiles que nous nous faisions autrefois. Elle m’avait d »jà fait un coup comme ça, une fois. C’était en plein été, à l’époque où nous étions amants, nous avions remarqué un troupeau de vaches avec un seul taureau adulte qui était loin d’être petit. Elle m’avait dit : «Je parie que tu n’es pas capable de charger le taureau dominant du troupeau. »
Et évidemment, qu’ai-je fait ? Comme un fou j’avais foncé sur le taureau et lui avait sauté dessus. J’étais resté au moins une minute à faire du rodéo sur son dos, puis j’avais sauté à terre et avait couru rejoindre Joyce avec un clin d’œil :
« Alors, c’est qui l’incapable ? »
Sauf qu’à ce moment là, nous nous étions aperçus que toutes les vaches nous couraient après, pour avoir attaqué leur beau mâle. Rahhh les femmes, surtout vaches, de vraies furies !! Nous avions subi une course-poursuite pendant au moins vingt minutes. Une fois les vaches distancées, nous nous étions caché dans une grotte, sans pouvoir réprimer un fou rire. Je n’avais pas cessé de rigole que je sentais un souffle dans mon dos. Joyce s’était figée, puis un sourire naquit sur ses lèvres. Elle me chuchota à l’oreille, en s’approchant lentement de moi : « Près pour un petit Fight ? ». Etonné, j’avais tourné la tête et j’aperçus un blaireau tel que je n’en avais jamais vu encore. Il était si énorme qu’il atteignait presque ma taille. A cinq centimètres près, environ. Jamais mes yeux n’avaient vu pareil blaireau, et jamais mes narines n’avaient senties pareil odeur : depuis quand pourrissait-il la dedans lui ? Je n’en savais rien, mais toujours est-il qu’il n’avait pas l’air très content. De plus, à l’époque, Joyce et moi étions encore jeunes. Nous venions d’atteindre nos un an. Le blaireau avait souri de voir des proies telles que nous, encore inexpertes au combat. Joyce s’était placée bien à coté de moi, en position défensive, tandis que moi, j’étais en position d’attaque : une ruse que nous avions mis en place tous les deux.
Je pensais à cela lorsque quelque chose me tomba dessus. Je me mis immédiatement en position d’attaque. Et me préparait à sauter sur l’inconnu, lorsque je vis qu’elle n’avait pas vu que je la prenais pour un attaquant. Elle s’essuya les pattes en disant :
<< Pardon, je n'es pas fait exprès. Comment t'appelle-tu ?>>
Je regardais la chienne en sentant son odeur. Une Diamond, dirait-on. J’irai même jusqu’à dire que c’était la dominante. Je souris faussement en disant :
« Je me nomme Daïyen. Bonjour Princesse. »
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| | | Princesse « Membre Fidèle de TH »
Messages : 85 Date d'inscription : 09/06/2012 Age : 26 Localisation : Bordeaux
Ton chien ♥ Légende: Relation:
| Sujet: Re: Paf, je glisse ! [LIBRE] Sam 16 Juin - 9:11 | |
| « Je me nomme Daïyen. Bonjour Princesse. »
Je fut étonnée qu'il me reconnut, je sentis dans l'air l'odeur des Onyx. Sa y est je savais que c'était lui, le dominant de la meute des Onyx.
<< Enchantée Daïyen, comment va ta meute ?>>
Je me netoyais toujours les pattes pleine de sables, ah ces sables mouvant m'énervais beaucoup, comment pouvons nous appeler ça une terre libre ? le sable nous emprisonne... "Je me souviens apres que je sois née, j'avais 6 freres et soeurs. Un soir d'été lorsque ma mere emena Brandon mon frere ainé aux sables mouvant je ne fut guere rassurée. Mon pere quant a lui avait les larmes aux yeux et je ne sut pourquoi. Mon frere était handicapés et il souffrait beaucoup, il lui manquait une patte avant. Comme tout les loups handicapés il boitait. J'avais compris le systeme de mon pere et ma mere. Achever mon frere... Quant je vis mon pere en larmes, ma mere et mon frere était deja partis. je les suivis en cachette sans que mon pere s'en aperçoivent. Ce derniere garder mes autres frangin/es. Puis je vis ma mere attraper mon frere dans la gueule, elle courut trés vite je la suivait sans qu'elle me Voye, puis elle arriva aux dunes de sables...
Un instant apres elle y laissa mon frere en lui disant :<< attends moi la je reviens>> Comme c'était dans un trou profond et que le sable commencer a tomber sur lui et a le recouvrir ilcria :<< Maman au secours !! >> J'acourut plus vite que jamais me fichant si ma mere était là ou pas. je l'appela mais tout le sable le recouvrit, je ferma les yeux en larmes. Puis un intant apres je les réeouvrit et plus rien, tout le sable était redevenus normal et ma mere s'approcha de moi : << si tu raconte sa a tes freres et soeurs, crois moi je te fait la peau >> Depuis ce soir elle me detesta. Je ne dit rien, mais je souffrais en silence. La menteuse raconta qu'il s'était perdue et qu'il avait du mourir. Pour ne pas peiner mes freres et soeurs je leur dit :<< Il est là haut et il nous surveille. Je suis a présent responsable de vous , il voulait me laisser la place.>>"
Je rouvrit les yeux, Daïyen me regardait, il était toujours là, mais je ne sut s'il avait répondu a ma question. | |
| | | Daïyen « Co Fonda extrème =P »
Messages : 449 Date d'inscription : 21/04/2012 Localisation : Droite après tu retournes à droite et t'es arrivée!
Ton chien ♥ Légende: Relation:
| Sujet: Re: Paf, je glisse ! [LIBRE] Sam 16 Juin - 19:22 | |
| << Enchantée Daïyen, comment va ta meute ?>>
Je regardais Princesse sans vraiment m’en soucier. Je ne l’avais jamais connue, mais j’avais une fois entendu parler d’elle, lorsqu’elle est devenue Alpha Diamond. Elle était la compagne de Gladaris, également Alpha. Je réfléchissais à ces informations, qui tournaient dans ma tête je ne sais pas vraiment pour qu’elle raison, vu que je ne m’en souciais guère. Mes yeux ne regardaient plus vraiment, c’est ainsi lorsqu’on se détache de la réalité. C’est comme dans mes rêves. Je croirais y être, je sens les sensations qui peuvent être déclenchées pendant mon songe, je le ressens comme si j’y étais vraiment. Lorsqu’on me dit quelque chose, j’ai l’impression que mes oreilles entendent réellement ce son. A vrai dire, c’est assez étrange. Mais bon, je suis étrange. C’est logique.
Lorsque je revins à la réalité, image sombre de mes pensées, mes paupières durent battre plusieurs fois pour que je me fasse à la luminosité. Je regardais la chienne devant moi. Je l’avais pratiquement oubliée celle la. Elle avait l’air complètement ailleurs. Elle pensait, elle aussi. Elle se remémorait surement quelque chose de pas très joyeux, car son pelage frémissait et le out de ses pattes tremblaient quelque peu. Je ne sais pas vraiment ce qui se passait pour elle, mais cela ne devait pas être un moment très agréable. A son tour, comme je l’avais fait avant elle, elle battit des paupières pour revenir à la réalité. Je la regardais d’un regard calme. J’avais attendu qu’elle revienne à elle pour répondre à sa question. Je lui souris narquoisement / je ne pus m’en empêcher /et lui dit :
« Ma meute se porte pour le mieux. Tout va bien. Mais j’ai appris que tu étais devenue la compagne de Gladaris, et par conséquent la nouvelle Alpha Diamond. Mes félicitations. Je te retourne donc la question : comment va Ta meute ? »
Le vent souffla une rafale dans mon visage qui me donna une allure magistrale, presque spectrale. C’était assez joli, même très classe. Une fleur fut arrachée par le vent, et vola légèrement jusqu’à moi. Il y a de ces petits détails qui ne m’échappent pas et qui me captivent pendant un bref instant, histoire de voir les derniers instants de la vie d’une si jolie fleur, beauté de la nature. Elle vint légèrement effleurer mon antérieur gauche. Puis, encore plus délicatement, elle se posa avec grâce sur le bout de mes griffes. D’habitude, j’aurais légèrement agité la patte pour enlever ce petit corps qui me gênait. Mais là, je n’en avais pas envi. Je la laissais là. Calme et reposante présence matérielle.
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