Priska is in the place ~

Lorsque l'on est égoïste comme Priska, on le reste pour toute la vie. Il est égoïste à souhait ! Il est rusé donc, si vous êtes un pion, il pourrait vous poignardée dans le dos sans regret ni culpabilité. Il ne supporte pas la compagnie d'autres chiens qu'il ne connait pas, par conséquent il fait tout pour éviter les foules ou réunions. Il a énormément de fierté et ne montrera jamais ses sentiments à qui que ce soit, quel que soit la raison. Il est également, même s'il serait prêt à se jeter du haut d'une falaise un énorme lâche. Il a un coeur dur comme la pierre. Il n'est presque jamais heureux. Il est quasiment toujours grognon ou même souvent neutre. Il a un odorat très fin et un sens de vengeance très éguiser. Il est de nature extrêmement rancunier.

Priska est un chien pur race. C'est un berger Australien comme les autres, physiquement, bien sûr. Son doux pelage est constituer de 4 jolies couleurs; blanc, qui recouvre son cou, le bout de sa patte avant droite, ses flancs, sa tête et son derrière. Du brun, sur sa queue, ses pattes sa tête et son dos. Du caramel pour les pattes et le dessous de son ventre.

Ses oreilles sont pendantes. Sa tête est tachetée ainsi que ses pattes. Son dos est plutôt rayé de grosses lignes de couleurs nommé ci-haut. Il a un bandana rouge a bordures à motifs blancs, qu'il ne se sépare jamais. Il n'est pas court sur pattes, ni haut sur pattes. Il est comme il est. De taille moyenne et mince. Il n'a que la peau sur les os. Mais il a beaucoup de muscles sous son pelage pour garder une forme et une apparence saine. De dures griffes noires et blanches ornent le bout de ses quatre pattes.

Priska a un passé difficile à avaler. Il est né d'une porté de 4 chiots. Il en était le plus trapu. Il était fort et en bonne santé. Dès qu'il put être entraîné par son maître en fonction des concours d'agilité, il reçut un jolie bandana rouge vif orné de motifs blancs extravagants. Il s'entraînait dur avec son maître que Priska adorait. Il remporta 2 championnats. L'un avec la médaille d'argent et l'autre d'or.

Un soir, après une compétition auquel Priska remporta la quatrième place, un drame arriva. Lorsqu'ils rentraient à la maison, la musique jouait de bon train dans le vieux pick-up de son maître. Priska aboyait en rythme avec la chanson pendant que son maître chantait avec lui. Tous deux s'amusaient. Mais soudain, sorti de la noirceur totale de la nuit, des phares d'une voiture émergeairent. La voiture fesait des zigs-zags
des deux cotés de la route. L'homme au bonnes intentions esseya d'éviter la voiture folle, mais en vain. Il ne réussit guère et une collision entre les deux automobiles se forma. Les fenêtres explosèrent en un bruit assourdissant. Priska s'écrasa contre le pare-choc tandis que son maître, lui, heurta le volant. Le coussin gonflable ne se déclencha pas.. tuant l'homme.

Priska souffrait énormément.. Sa patte était tordue. En gémissant, il sorti de la voiture par la porte du passager qui s'était ouverte pendant l'impact. Il savait pertinemment le sort qu'avait reçut son maître. Il regarda la voiture qui avait provoquer la mort de son ami avec colère. Il vu qu'un des deux hommes présents dans la voiture bougeait encore. Il tenait sa chance de se venger.. Priska s'approcha de la voiture en jappant rageusement. La portière du chauffeur tomba sur le sol forçant Priska à reculer de quelques pas. Le conducteur tomba sur le sol, haletant. Priska gronda de plus belle. C'est eux qui méritait de mourir ! Pas son maître ! C'est à cause d'eux que l'homme qui l'a vu naître est mort ! Il gronda sur l'étranger. Il s'approcha de l'homme à pas lent. Il lui était obliger de venger son maître.

Le chauffard tendait la main à Priska. Il croyait sûrement que le chien allait l'aider.. Mais non. Il ferais bien pire que cela. Il commença à mordre le bras de l'homme qui cria de douleur en frappant le Berger d'Australie. Priska endura la douleur et serra encore plus fort son emprise jusqu'à en sentir le sang souiller couler dans sa gueule. Il lâcha le bras de sa victime et s'attaqua au visage. Il mordit le nez en premier, le réduisant à néant comme l'aurais fait un Rottweiler. Il s'attaqua aux yeux de l’alcoolique avec ses pattes. Toute la fureur de monde était consumer dans ses gestes.

Puis, d'autres phares s'allumèrent dans la nuit d'encre. Un homme vêtu d'un jean et d'un T-shirt bleu sorti de la voiture. Il battait des bras en direction du chien et de l'homme. Le mâle asséna un dernier coup de crocs au meurtrier et décampa dans la forêt. Il resta un moment là, dans le fossé, à regarder l'homme qu'il avait dévisager agoniser par terre. Priska le foudroyait du regard. Dès que les secours arrivèrent le chien parti dans la forêt. Fuyant le monde des humains. Fuyant le monde. Fuyant à jamais la vie.